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Séjour chez "mère" 2 by Michael
Suite de "Séjour chez mère" 1
Les mois avaient passé et mes cheveux avaient repoussé. Je continuais à aller chez "mère"chaque semaine. Elle tenait à ce que je l'accompagne à la messe tous les dimanches et chez elle, j'étais habilé comme elle le souhaitait pas comme je le voulais. Elle ne me parlait plus de ma coupe de cheveux. Comme elle l'avait dit en février, elle avait proposé de m'emmener en vacances avec elle tout l'été. Faute de moyens, je ne partais pas en vacances, donc j'étais heureux. Mère avait une propriété dans le cantre de la France et on devait s'y rendre en train. J'arrivais avec ma valise un samedi matin de juin. On devait partir le lundi matin. "On laissera ta valise et tes habits ici, j'ai tout prévu pour toi et une fois arrivés, je te ferai couper les cheveux. Tu sais que je 'aime pas les cheveux longs. C'est l'été, il fait chaud et tu seras beaucoup mieux avec des cheveux courts. D'ailleurs, tu étaus bien mieux avec tes heveux coupé au mois de février. Je savais déjà que je n'y échapperais pas.
Le lundi matin, lever de bonne heure. Je me retrouve à nouvau habillé comme un petit garçon en culotte courte et un ensemble en laine bordeux , polo manches courtes, pull sans manche ras du cou et gilet boutonné jusqu'au cou. On prend le train jusque Paris, changement de gare puis un nouveau train jusqu'à l'arrivée. Là, un Monsieur nous attendait à la gare avec sa voiture. Ils discutent et je comprends qu'il s'occupe des forêts de Mère. Elle me dit que je l'accompagnerai pour les découvrir. La propriété est grande et assez isolée, avec une belle maison ancienne, des champs et des forêts alentour. On s'installe. Le lendemain, un prêtre en soutane vient à la maison. "Ca m'aurait étonné", pensé-je au fond de moi. Il a l'air très strict avecs a coupe en brosse.
Mère discute avec lui.
- Savez-vous s'il y a un coiffeur au village? Je dois faire couper les cheveux de Benoît, demande-t-elle.
- Oui je crois", répond le prêtre, "mais si vous voulez je peux le faire moi-même, j'ai tout ce qu'il faut.
-Très bien, quand puis-je vous l'amener ?.
- Demain matin si vous voulez.
J'ai à peine entendu la conversation.Le soir, pendant le repas, Mère m'indique que "demain matin, nous allons chez Monsieur l'abbé. Il a proposé de te couper les cheveux. Comme cela ce sera fait, au moins pour le début des vacances".
Le prêtre n'habite pas très loin, nous y allons à pied. Il est entre 9h et 10h. Nous entrons et allons dans la cuisine.
-Bien jeune homme, assieds-toi là, dit-il en pointant le doigt vers une chaise. Avant de m'asseoir, Mère me retire mes habits du haut. Je suis en maillot de corps.
-J'ai ressorti ma tondeuse, indique-t-il à Mère. Comment je coupe?
- Bien court, répond Mère.
-Ne vous en faites pas, avec ça, ce sera bien court et il brandit sa tondeuse manuelle. De toute façon, je ne sais faire qu'une coupe, rit-il.
Je ne sais pas ce que ça va donner. J'ai les pires craintes. Il me met une serviette de toilette autour du cou, prend quand même un peigne et me coiffe en avant.Soudain, je le vois se metrte sur mon côté droit, il pose sa main gauche sur ma tête et la penche légèrement vers la gauche aussi. Du coin de l'oeil, je vois sa main avec la tondeuse s'approcher. Sa main gauche soulève mes cheveux et je sens le métal froid de la tondeuse se poser. Clic, clic, clic, il commence, la tondeuse remonte le long du côté, des cheveux tombent. Il plie mon oreille en deux et continue. Je ne vois plus rien, j'entends juste le cliquetis de la tondeuse. L'abbé poursuit son travail. Maintenant, la nuque. Je sens un peu de fraicheur sur les parties tondues. L'autre côté y passe à son tour. J'ai envie de pleurer, mais je me retiens. Il se replace de mon côté droit. Avec la tondeuse dans une main, il soulève ma mèche qui avait repoussé depuis le mois de février. La tondeuse est mise juste en haut de mon front, au milieu. Je vois ses doigts serrer et désserrer les deux bras de la tondeuse manuelle. Il va jusqu'à l'arrière du crâne, revient en avant et recommence encore et encore. Il repasse la tondeuse sur toute la tête, côtés, nuque et dessus pour qu'il ne reste vraiment rien.
- Voilà c'est fini.
Mère tourne autour de moi. "C'est tout de même plus propre et pour l'été, c'est parfait." Je ne vois rien, mais j'imagine que j'ai la boule à zéro. Je suis toujours assi. Mère passe sa main sur mon crâne.J'ai l'impression d'être tout nu. Drôle de sensation. "Je pense qu'il faudra le retondre avant la fin de l'été", affirme le prêtre.
- Benoît tu peux remercier Monsieur l'abbé.
J'ai plutôt envie de le maudire, mais je suis obligé de dire "merci Monieur l'abbé.
Nous repartons. "Voilà une bonne chose de faite", constate Mère. Un mois plus tard, le prêtre me tondait à nouveau.