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Le baby-sitter décide by Alois


Les parents de Julien, 13 ans, devaient partir tout le week-end. Avant de quitter la maison, ils avaient laissé une consigne précise à Thomas, leur baby-sitter étudiant :

— Ses cheveux sont beaucoup trop longs. On veut qu’il passe chez le coiffeur. Et comme nous n’avons pas le temps de l’y emmener, c’est toi qui t’en charges. Tu choisis la coupe, du moment que ce soit pratique.

Julien avait entendu la consigne et fronça les sourcils. Ses cheveux, qu’il laissait pousser depuis deux ans, lui descendaient maintenant jusqu’aux épaules. Il y tenait beaucoup. Mais les parents avaient été clairs, et Thomas avait carte blanche.

L’après-midi même, Thomas emmena Julien dans un petit salon de coiffure traditionnel du quartier, tenu par un barbier à l’ancienne. L’odeur de talc, de lotion après-rasage et le ronronnement des tondeuses emplissaient la pièce.

— Bonjour, dit Thomas en entrant. C’est pour lui. Ses parents veulent qu’il ait une coupe pratique, et… je choisis pour lui. Rasez-le complètement.

Julien ouvrit de grands yeux :

— Quoi ?! Mais…

Thomas posa une main ferme sur son épaule.

— Assieds-toi. Tes parents m’ont confié la décision.

Le barbier, un homme aux gestes précis, hocha la tête et invita Julien à s’installer dans le grand fauteuil de cuir. Une cape noire fut attachée autour de son cou, recouvrant ses bras et ses vêtements. Julien se retrouva figé, le cÅ"ur battant, ses longs cheveux encore libres tombant de chaque côté du siège.

Le barbier alluma sa tondeuse. Le bourdonnement emplit la pièce, grave et régulier. Sans hésiter, il posa la machine au sommet du crâne, au milieu de la raie naturelle. Puis il la fit glisser vers l’arrière dans un long mouvement ferme.

BZZZZZRRRTTTT !

Instantanément, un large sillon de cuir chevelu nu apparut. Les cheveux, d’une longueur impressionnante, s’enroulèrent dans les lames avant de glisser lourdement sur la cape. Julien sentit la vibration de la tondeuse parcourir son crâne, comme un frisson mécanique.

Le barbier reprit calmement : deuxième passage, parallèle au premier. Puis un troisième. Chaque fois, les cheveux cassaient net sous les lames, tombant en mèches épaisses qui s’amoncelaient en tapis sombre sur ses genoux et au sol.

Julien n’osait plus bouger. Ses oreilles vibraient avec le son grave de la tondeuse. Le contact métallique raclait son cuir chevelu, laissant derrière lui une surface très courte, rugueuse au toucher.

Le barbier passa ensuite sur les côtés. Il souleva légèrement l’oreille gauche et fit remonter la tondeuse de la tempe jusqu’au sommet. Des cascades de mèches descendirent sur les épaules de Julien, qui baissa les yeux, hypnotisé par la masse de cheveux qui disparaissait.

— Courage, gamin. Encore quelques minutes et ce sera terminé, dit le barbier d’une voix posée.

En moins de dix minutes, la chevelure entière était tombée. Mais ce n’était qu’une étape. Le barbier coupa le moteur, déposa la tondeuse, puis secoua une bombe de mousse à raser. Il en étala une couche généreuse sur toute la tête de Julien. La crème fraîche et parfumée recouvrit son crâne de blanc, contrastant avec la peau encore légèrement piquante.

Puis vint le rasoir droit, parfaitement affûté. Le barbier tira doucement la peau du cuir chevelu d’une main, et de l’autre fit glisser la lame avec des gestes précis.

Schhhrrrk… schhhrrrk…

Chaque passage éliminait la mousse et le moindre reste de cheveux, laissant une peau nue, douce et brillante. Il rinçait régulièrement la lame dans un bol d’eau tiède, puis reprenait méthodiquement : sommet, tempes, nuque. Le bruit du rasoir, discret mais sec, contrastait avec le grondement lourd de la tondeuse.

Julien frissonnait : la sensation était étrange, un mélange de froid et de douceur, comme si son crâne respirait pour la première fois.

Lorsque le barbier eut fini, il passa une serviette chaude pour nettoyer la mousse restante. Puis il appliqua une lotion légèrement parfumée qui piqua la peau fraîchement rasée.

Thomas sourit en voyant le résultat.

— Parfait. Plus simple que ça, impossible.

Julien leva lentement la main, effleurant son crâne parfaitement lisse. Il se découvrit dans le miroir, presque méconnaissable. Ses longs cheveux, autrefois fièrement portés, reposaient maintenant en tas au pied du fauteuil, témoins muets d’un changement radical.

En sortant du salon, Julien marcha en silence aux côtés de Thomas. Le vent frais du soir caressait directement son cuir chevelu, et cette sensation nouvelle le faisait frissonner. Il levait souvent la main pour toucher son crâne lisse, comme pour vérifier que c’était bien réel.

— C’est… bizarre. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, murmura-t-il.

— Normal, tu viens de perdre deux ans de cheveux d’un coup. Mais avoue, c’est pratique. Plus besoin de shampoing, de peigne… tu vas gagner du temps, répondit Thomas avec un léger sourire.

Julien ne savait pas quoi répondre. Une part de lui se sentait humiliée, comme s’il avait perdu une partie de son identité. Mais une autre part découvrait une certaine légèreté : plus rien ne tombait dans ses yeux, plus rien ne lui collait au cou.

Arrivés à la maison, Thomas fit couler un verre d’eau et posa une serviette propre. Julien se regarda à nouveau dans le miroir de l’entrée. Son reflet lui paraissait étranger : son visage ressortait plus net, plus adulte, mais le contraste avec sa tête complètement rasée restait brutal.

— Ça va repousser… mais là, je ressemble à un autre, dit-il en soupirant.

— Justement. Parfois, ça fait du bien de changer, répondit Thomas.

Le soir, lorsqu’il se coucha, Julien eut du mal à trouver le sommeil. Chaque frottement de son crâne rasé contre l’oreiller lui rappelait la tondeuse, la mousse, le rasoir. C’était comme si la scène repassait en boucle dans sa tête.

Le lendemain matin, il hésita longuement avant de sortir de sa chambre. Quand il croisa son reflet dans la salle de bain, il toucha à nouveau sa peau nue et soupira :

« J’espère que personne ne se moquera demain à l’école… » pensa-t-il.

Quelques heures plus tard, ses parents rentrèrent. La mère fut la première à le voir. Ses yeux s’écarquillèrent en découvrant son fils chauve.

— Oh mon dieu… Thomas ! Tu l’as fait raser complètement ?!

— Vous m’aviez dit de choisir une coupe pratique. Et rien n’est plus pratique que ça, répondit-il calmement.

Le père, lui, esquissa un sourire amusé.

— Au moins, ça a le mérite d’être radical. Pas d’entretien, pas de problème.

Julien resta muet, baissant les yeux. Sa mère soupira, puis lui caressa doucement la tête.

— Eh bien… ça repoussera. Profites-en pour découvrir autre chose.

Julien, malgré sa gêne, sentit au fond de lui une pointe de fierté. Il venait de vivre une expérience qu’il n’aurait jamais imaginée, une rupture nette avec son ancienne image. Chaque regard, chaque caresse sur son crâne lui rappelait ce tournant.




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